Des mois que l'on en parle.
Tous le monde la déteste... et pourtant on veut se mesurer à elle !
La peur nous faire dire n'importe quoi a son sujet : "je n'y arriverai jamais !"" c'est trop tôt je ne suis pas prêt" "il n'y a pas de sécurité" , "c'est beaucoup trop long" ...
Mais dans les faits :
- 1 an que l'on s’entraîne comme des brutes à raison de 6 h par samedi et 2h le jeudi
- 1 an que l'on accepte l'idée que lorsque l'on vomi, c'est que l'on a réussi
- 1 an que l'on repousse les limites encore un peu plus loin à chaque séance
- 1 an que l'on à tout notre corps qui brûle, tire, souffre, et 20 minutes après on se dit " a quand une vrai PPG ?"
- 1 an que l'on trouve que l'on prend du muscle, qu'on le a plus de cardio , que l'on a une meilleure condition.
Si on s’entraîne si dur, c'est que l'on veut devenir des meilleur, et comme le dirais mon père spirituel Arnold Schwarzenegger : " No pain , No gain "
C'est pourquoi il est temps de se mesurer à un vrai défi, une vrai PPG : le 28 km !
On ne va pas se mentir, ça sera dur, éprouvant et long, mais comme à chaque fois après tout. Et dans la réalité, si l'on analyse la chose :
-le rythme est plus lent, avec un cardio modéré, donc beaucoup moins éprouvant que nos entrainement quotidien
-on va courir en moyenne 3h-4h, alors que tous les samedis on s’entraîne en moyenne 6h à intensité plus élevée, il faudra alors juste trouver son rythme.
-on sera tous ensemble, pour se donner de la force et garder le morale
-chacun d'entre nous court depuis qu'il a 3 ans, et avec régularité maintenant depuis 1 an, vous êtes donc entraîné
-Enfin imaginez vous la fierté du travail accompli
Au bout du compte, cette PPG, c'est beaucoup de mental avant et pendant, et un peu d'endurance.
Enfin je terminerai ma présentation sur cette citation chère aux profs d'EPS : "tu as le droit de ne pas réussir, mais tu as le devoir d'essayer".